Histoire DUn Couple Qui Se Dévergonde
Cela a commencé un soir, il y a une vingtaine dannées, ma femme avait 38 ans, alors que nous voulions manger un couscous, nous sommes allés dans un restaurant tunisien dans le quartier arabe de notre ville. Nous allions repartir, car il ny avait que des hommes arabes mais nous avons été retenus par le patron, Ali, qui nous a dit de ne pas nous inquiéter car cétaient des habitués qui appréciaient le vrai couscous et nous a offert lapéritif, disant quil le faisait systématiquement lorsquil voyait une belle femme. Ma femme, très flattée lui a souri. Puis nous avons dégusté un excellent couscous accompagné dun vin du pays très corsé. Ma femme commençait à avoir les joues rouges, et devenait très frivole. La musique langoureuse y était pour quelque chose. En effet ma femme avait appris à danser la danse du ventre dans son club de danse, et elle adorait cela. Le patron navait pas raté son balancement langoureux et est venu lui proposer de danser au milieu de la salle. Ma femme, aidée certainement par leffet du vin et de son goût de la danse, a accepté de suite. Ali a mis de la musique et a proposé à ma femme de faire le spectacle. A mon grand étonnement, elle si timide habituellement a accepté de suite ; cette assemblée de mâles ne limpressionnait pas, et elle sest mise à onduler au milieu de tous ces hommes au rythme de la musique. Les hommes semblaient apprécier sa prestation et le manifestaient en tapant dans leurs mains au rythme de ma musique et parlaient entre eux en arabe. Je ne comprenais pas mais ils faisaient certainement des commentaires sur les formes de ma femme qui je dois dire est un peu enrobée. Jai appris par la suite que les Orientaux appréciaient beaucoup les fesses rebondies et les cuisses charnues. Là, ils étaient servis, en effet elle était moulée dans une minijupe qui moulait ses fesses à merveille. De plus, lorsquelle levait les bras, on pouvait voir la chair laiteuse de ses cuisses charnues au-dessus de ses bas ; Cela aussi les Orientaux apprécient beaucoup.
Quant à moi, c'était une révélation, ce jeu dexhibition de ma femme mexcitait au plus haut point ; de la voir ainsi offerte aux regards de ces hommes affamés cela me faisait bander. Au lieu dêtre jaloux, jen étais heureux. En plus Ali a amené du champagne à notre table à la grande joie de ma femme qui adore cela. Elle a été félicitée par Ali et les applaudissements des hommes présents et nous avons bu le champagne. Leffet des bulles ne sest pas fait attendre, elle ma dit avoir envie de danser de nouveau, bien sur si cela ne me dérangeait pas. Bien entendu, je lai encouragée. Mais cette fois-ci, Ali lui a proposé de mettre une tenue plus adéquate. Elle a accepté et est allée avec lui dans larrière salle doù elle est revenue habillée dun foulard qui remplaçait sa jupe et qui laissait apparaître sur un côté sa cuisse nue au-dessus des bas. Lorsquelle bougeait, on voyait ses jarretelles et même son slip. Leffet a été immédiat, je me suis remis à bander, et les hommes se déchaînaient. Cela ne la pas émue, et elle sest mise à onduler de façon langoureuse. Les hommes devaient être dans le même état que moi, et certains même se caressaient lentrejambe sans aucune gène. Jétais comme fou, la soirée sest passée ainsi, elle a dansé encore, se lâchant de plus en plus. Un moment même le foulard a glissé et elle a continué à danser en slip. Pour ces hommes elle ressemblait à ces prostituées quils allaient mater et baiser dans les maisons de passe du quartier. Heureusement Ali maîtrisait bien la situation. Les hommes allaient même faire la queue aux toilettes, certainement pour se branler. Jétais heureux quAli soit là, car sans cela, cela aurait pu tourner mal avec ces hommes affamés allumés par une femelle en chaleur. Elle était en effet comme e, inconsciente ou plutôt attisée par leffet quelle produisait chez ces mâles.
A un moment, Ali est venu me voir, et ma conseillé demmener ma femme ; Il nous a offert le repas et nous a dit que nous étions ses invités quand nous le voulions si ma femme recommence sa prestation.
Nous sommes rentrés, jai embrassé ma femme lui disant quelle ma beaucoup excité de danser ainsi, et nous avons fait lamour comme des fous, ne prenant même pas le temps de nous déshabiller en rentrant, je lai pénétré sauvagement, sa chatte était trempée et chaude, je lui dis que javais la chance de lui faire lamour, car les hommes qui lont vu danser devaient être excités comme des fous, et alors que moi je la pénétrais, ils devaient se branler en pensant à elle. La, cela a été instantané, elle a joui aussitôt, comme jamais elle ne lavait fait alors que dhabitude je devais la caresser pour cela. Elle sest mise à gémir fortement en me serrant la queue dans son fourreau, elle ma fait jouir à mon tour. Elle na pas arrêté de répéter ; « chéri cest bon, cest bon ». Nous nous sommes endormis aussitôt et ce nest que le lendemain, complètement dessaoulés que je lui ai raconté la soirée. Elle savait bien sur ce quelle avait fait, mais jai insisté sur le coté érotique de sa prestation qui faisait bander les mecs présents. Elle ma dit :
Tu men veux ?
Non, au contraire, cela ma beaucoup excité aussi, dailleurs cela me fait bander rien que den parler et je suis sur que toi aussi..
Joignant le geste à la parole, je lui ai mis la main entre les cuisses et je me suis aperçu que mes paroles lavaient excitée. Je ne sais pas ce qui ma pris, jai commencé à la caresser comme un fou, en lui disant :
Ah ! Ça ta excité aussi hein ! Petite salope, tu savais bien que tu les faisais bander, avoue.
Avoue, petite salope, je suis sur que tu les voyais se caresser en te voyant, hein ! Avoue ;
Tu mouilles, cela veut dire que jai raison, cela ne me gênerait pas, si tu veux, tu recommenceras, mais je veux que lon soit complice.
Tu voudrais que je recommence ? Tu nes pas fâché ?
Non, bien au contraire, cela me plairait.
Même si je fais des bêtises comme hier ?
Oui, justement pour cela, jai bien remarqué que tu tétais mis le slip entre les fesses pour mieux les exciter.
Je lui ai touché lentrecuisse et je me suis rendu compte quelle mouillait de plus en plus.
Mais tu mouilles, ça texcite ? Mais tu es vraiment une petite salope, ma salope, ma pute hein ?
Oui
Dis-le que tu es ma pute, ma grosse salope.
Oui, oui je suis ta grosse pute.
Je vais te mettre dans les hôtels à putes pour te faire baiser par des grosses queues bien juteuses, tu veux ?
Oh oui oui.
Nous avons de nouveau fait lamour de façon intense, je narrêtais pas de bander en pensant à la situation que nous avons vécue. Cependant, ma femme, malgré ses affirmations, disait ne pas pouvoir retourner dans ce restaurant. En effet, elle disait avoir honte de se présenter devant Ali, le patron car disait-elle, il devait la prendre pour une moins que rien.
Cela a duré ainsi pendant trois mois où, malgré mes encouragements, elle na pas voulu aller au restaurant. Entre-temps, jai réussi à lui faire avouer quelle avait accepté de danser pour plaire à Ali, et même lorsquil la aidée à shabiller, il lui a fait des compliments en lui disant quil aurait bien aimé être à ma place et de lavoir comme femme. Il lui a même dit que dans ce cas, il ne serait pas obligé de prendre des vitamines pour être toujours en forme. Cette confession, au lieu de ménerver, ma encouragé à la pousser à aller le rencontrer. Mais toujours refus de sa part car elle avait disait-elle honte de ce quelle avait fait, même si le souvenir de cette exhibition continuait à alimenter nos fantasmes. Mais ce qui la retenait le plus, et en cela elle avait raison, elle ne voulait pas faire ce genre de chose dans notre ville.
Comme je devais pour des raisons professionnelles aller une semaine à Paris, jai demandé à ma femme de maccompagner. Auparavant, je lavais fait fantasmer en lui disant que je lamènerais dans le quartier de la goutte dor où il y avait beaucoup de nord-africains, et nous avons fantasmé là-dessus.
Cest donc ainsi que nous sommes allés à Paris, dans ce quartier connu à lépoque pour ses hôtels de passes pour immigrés, et nous avons étés dans un restaurant où il avait la même ambiance que nous avions connue. Durant le repas, les hommes présents narrêtaient pas de mater ma femme qui sétait vêtue de manière plutôt provocante. Durant le repas, je lui demandais de remonter sa jupe pour que les mecs puissent apercevoir la chair de ses cuisses au-dessus de ses bas. Après avoir longtemps insisté et surtout lui avoir servi souvent du vin, elle a accepté. En face delle, il y avait un homme, dune quarantaine dannée, grand, très brun et plutôt beau mec. Il a bien vu le manège et souriait à ma femme qui rougissait. Je lui ai demandé sil lui plaisait, et elle ma avoué que oui. Après avoir terminé, nous avons payé et somme sortis. Sans que ma femme me voie, jai fait un coup dil au gars lui faisant comprendre de nous suivre. Nous avions la voiture devant le restaurant et une fois dedans, je nai pas démarré de suite jai dit à ma femme que certainement il allait nous suivre. Elle commençait à craindre de se trouver devant le fait accompli et ma demandé de démarrer. Je lui ai dit de me faire confiance et que cela se passerait bien en plus nous nétions pas connus et ne risquions rien. Cétait donc loccasion de réaliser un de nos fantasmes. Lalcool aidant, elle a accepté, je lui ai dit quelle allait se régaler, mais quelle devait se conduire comme dans nos fantasmes, comme une pute. Cela la émoustillée et elle a accepté.
Au même moment, nous avons vu sortir le mec du restaurant, qui regardait autour de lui. Jai donné un rapide coup de phare et il nous a vus et sest dirigé vers nous.
Passant à côté de moi, jai baissé la vitre et je lui ai expliqué devant ma femme interdite ce dont il sagissait : faire lamour à ma femme. Presque incrédule, il a regardé ma femme qui nosait pas croiser son regard, je lui ai dit, ne vous inquiétez pas elle est daccord à condition dêtre doux avec elle, mais elle est timide. Pour anticiper car je craignais que ma femme réagisse mal et me demande de partir, jai demandé au gars sil voulait monter.
Il a accepté sans hésiter et est monté à larrière. Jai alors demandé à ma femme daller lui tenir compagnie à larrière. Elle, elle ne bougeait pas, je suis sorti alors et jai ouvert sa portière et lui ai dit dêtre gentille avec notre invité sinon il allait partir et elle raterait cette aventure. Sans un mot, elle est montée derrière. Jai présenté ma femme à Ahmed qui sest présenté à son tour. Je lui ai dit de soccuper de ma femme avec délicatesse car cétait la première fois que cela se passait. Il ma dit dans un français approximatif que je pouvais compter sur lui car il était subjugué par la sensualité de ma femme et que jamais, il naurait pu espérer de pouvoir «la niquer ». Josy, ma femme nosait pas faire un geste mais ce compliment rustique lui a fait lâcher un sourire. Javais maintenant envie quAhmed voit sa chatte poilue, ses larges cuisses blanches, ses fesses bandantes, ses beaux nichons. Je voulais quil les palpe, en profite, lui entre par tous ses trous. Pour ce faire jai senti quil ne fallait surtout pas le temps à ma femme de se dégriser et de réagir. Jai arrêté la voiture au bord de la route dans une rue déserte et jai dégrafé rapidement le chemisier de ma femme qui sest ouvert sur sa poitrine lourde et délicieuse sous le regard stupéfait dAhmed. En même temps, jai relevé la jupe de Josy au-dessus de ses bas, découvrant la blancheur de ses cuisses qui étaient éclairées par un lampadaire. Ma femme est un beau morceau hein ? Magnifique a répondu Ahmed. Ma femme a baissé les yeux en rougissant en écoutant le compliment. Pour lui signifier quil pouvait y aller, jai mis ma main entre les cuisses de ma femme invitant Ahmed à toucher la douceur de ses cuisses. Aussitôt sa main sest tendu vers les cuisses de ma femme qui lorsquelle a senti la main dAhmed lui caresser lentrecuisse sest ouverte en frémissant pour mieux laisser le passage de cette main qui sinfiltrait maintenant plus profondément. Ahmed, se demandait si cétait vrai, lui, immigré qui navait jamais pu toucher aussi intimement une femme autre quune pute, offerte en plus par son propre mari. Il ma avoué ensuite que ça lui changeait des putes quil allait baiser dans les cloaques de la goutte dor.
Enfin, cétait parti. Je suis allé à nouveau devant pour conduire la voiture vers un coin tranquille afin de ne pas se faire remarquer par les flics. Jétais heureux de constater dans le rétroviseur que les choses avançaient. Ahmed était penché sus ses nichons pour les sucer goulûment. Jentendais ma femme feuler, jétais heureux de voir que ma femme commençait à accepter la situation. Jai enfin trouvé une place discrète et je suis passé derrière à côté de Josy. Jai posé ma main sur sa cuisse avant de linsinuer dans sa fourche où la main dAhmed avait vraiment progressé, il avait glissé un ou deux doigts dans sa chatte alors que ses cuisses sécartaient de plus en plus. Je bandais comme un fou, je ne pensais quà une chose, de voir ma femme se faire baiser par ce type. Jai sorti ma queue qui commençait à être comprimée dans mon pantalon et jai soulevé ma femme pour lui ôter son slip, supprimant le dernier paravent. Jai fait un peu allonger ma femme qui a mis une jambe de chaque côté, les fesses à lair. Jai lui ai alors demandé de soccuper de ma queue et de sortir celle dAhmed. Elle lui a baissé la braguette dune main tremblante. Nous retenions tous les trois notre souffle lorsque la bite dAhmed a jailli de son slip et quelle a serré sa main autour de ce membre épais. Il était en effet très épais et long, beaucoup plus gros que le mien, jaurais pu en être jaloux, mais cela ma encore plus excité. Cétait une queue circoncise avec un énorme gland violacé, comme un champignon qui surplombait une hampe brune et charnue. Ma femme a paru hésiter en jaugeant la taille de ce membre dont la main ne faisait pas le tour. Dune voix forte je lui ai dit : suce-le ! Comme hypnotisée par cette queue et lordre que je lui ai donné, elle a ouvert la bouche et happé le gland entre ses lèvres. Mon cur sest mis à battre à une cadence folle, une chose incroyable se déroulait sous mes yeux ; ma femme était en train de sucer devant moi la queue dun autre homme, un inconnu.. Ma femme que je croyais prude se conduisait pour mon plus grand plaisir comme la dernière des salopes et pompait la queue dun autre en y prenant un grand plaisir. Au début elle ne faisait que suçoter le gland dAhmed. Jai appuyé sur sa nuque et elle a embouché la queue profondément. Comme cette queue était longue, ma femme la gobée quà moitié et Ahmed était aux anges. Il râlait de plaisir et lâchait des mots moitié arabe et français : ty fais du bien à mon zob, jamais il a été sucé comme ça, cest super on dirait une connasse sa bouche. En effet ma femme semblait déployer toute sa science. Javais envie de me branler mais jétais au bord de la jouissance sans même me toucher. Jai continué à regarder cette queue tendue entrer et sortir de la bouche de ma femme. Lorsquil sest tendu, Ahmed sest mis à dire quil allait jouir, je pensais que Josy allait lâcher le sexe, mais elle a continué de le sucer encore plus avidement alors que son amant déchargeait dans sa bouche, elle avalait au fur et à mesure mais comme il avait des réserves, le sperme sortait des lèvres de ma femme pour couler le long de la hampe. Elle le suçait encore comme pour ne pas en perdre une goutte. Je nai pas pu tenir, jai giclé en même temps sur sa poitrine sans même me toucher tellement cette vue mavait électrisé. Ma femme sest tourné vers moi, ma déclaré : chéri, je taime, merci, merci jai de la chance de tavoir comme mari. Sur sa lancée, elle ma embrassé fougueusement sur la bouche, jai répondu de la même façon en embrassant cette bouche qui venait davaler une quantité monstrueuse de sperme de son amant. Je lui ai dit : donne-lui ta chatte, je suis sur que tu veux quil te prenne maintenant. Jai pu remarquer lendurance dAhmed qui continuait à bander comme un âne alors que ma femme lui a vidé les couilles. Sans hésiter, ma femme a enjambé Ahmed, cuisses écartées, jupe relevée à la taille elle tendait la main pour saisir la queue en quémandant plus quen demandant : « vient ». A cette époque on ne parlait pas encore de sida, cest donc sans capote quAhmed présenta sa queue au bord des lèvres de ma femme, le gland joua un moment dans la fente, arrachant des soupirs à Josy qui baissait son bassin pour chercher désespérément la pénétration, enfin il senfonça dune lente et profonde poussée. De la voir ainsi heureuse et pressée de se faire mettre ma de nouveau fait bander.
Ma petite femme si prude était devenue ma belle putain de femme. Elle sest empalée sur la queue dressée dAhmed en poussant un gémissement : Ahhh
hummm. Elle sest fait remplir la chatte par cette bite épaisse. Elle sest mise à sautiller dessus comme une chienne en chaleur, elle se donnait sans retenue. Son gros cul remuait de droite à gauche en senfonçant, elle serrait ses fesses comme elle le faisait avec moi pour mieux serrer la queue dans sa chatte musclée, jimaginais le plaisir quelle donnait à son baiseur. Quelle différence avec son air guindé et froid de bourgeoise, quelle transformation ! Ahmed subissait plus quil ne la baisait. Tout à coup, il sest déchaîné dans son con, lui triturant les fesses, lui parlant dans sa langue. Nous ne comprenions pas mais il était facile dinterpréter. Il devait la traiter de salope. Puis, il a baragouiné que ça venait, disant quil allait faire gicler son zob dans sa chatte ; Ces marques destimes ont plu à ma femme qui sest mise à jouir bruyamment, comme une folle, la chatte défoncée. Ahmed, avec la même force sest vidé dans la chatte de ma femme et moi, incapable de me retenir, jai giclé contre ses fesses, mélangeant mon sperme à celui dAhmed qui dégoulinait de sa chatte alors que sa queue lourde, gluante et flasque sortait avec le trop plein de leurs jus. La fête était terminée, on sest rajusté et jai reconduit lamant de ma femme à bon port. Sur le chemin, il a avoué quil avait passé la meilleure partie de baise de sa vie et ma remercié de lui avoir permis de « niquer » ma femme ; Cétait son terme. Il a embrassé ma femme qui lui a également dit quelle avait beaucoup apprécié. Joignant le geste à la parole, elle caressait la queue dAhmed qui sest remis à bander. Elle lui a fait une pipe magistrale et la fait à nouveau gicler. Elle était insatiable. Ahmed nous a dit que si nous voulions le voir nous pouvions lappeler au restaurant, il ne demandait que ça et il est sorti après avoir embrassé ma femme. Quant à nous, nous avons fait de même, ma femme ne ressemblait plus quà un zombie. Après une douche réparatrice, nous nous sommes couchés, jai pris ma femme tendrement dans mes bras, le souvenir de la soirée ma fait bander et jai pénétré sa chatte encore chaude et mouillée du sperme dAhmed. Jai joui presque aussitôt, ma femme débordant de tendresse après cette soirée de baise sordide, me couvrait amoureusement de baisers, me remerciant de la soirée. Javais peur de subir le contrecoup de cette soirée, je craignais quelle redevienne comme avant et men veuille pour cette aventure. Jétais à moitié rassuré mais jattendais le réveil pour en être sur. Cest elle qui a entamé la conversation pour me dire quelle était gênée pour ce quelle avait fait et ma demandé si je nétais pas fâché.
Bien sur, je lai rassurée et lui ai dit que jai pris beaucoup de plaisir à la voir jouir ainsi, et quelle a du se régaler avec un tel sexe. Elle ma avoué quen effet, elle a eu une sensation inconnue lorsquelle a été pénétrée par ce gros sexe. Cela la mise en transe et incapable de réagir autrement que ce quelle a fait. Je lai serrée contre moi et lui ai dit quelle navait rien à regretter et que si elle avait envie de renouveler cette situation et si cela lexcitait, jen étais heureux car je considérais que cela ne pouvait pas être considéré comme une tromperie de sa part dans la mesure où nous restions amoureux et complices. Je lui ai dit également que cela nous aidera à retrouver un regain dans notre sexualité. Elle ma serré fort contre elle et ma dit être heureuse de ma réaction et quen effet elle sentait une baisse de sa libido et que la soirée de la veille lavait réveillée. Pour me le prouver, elle sest mise à me caresser et sest baissée et me sucer. Je lui ai dit : tu aimerais bien quAhmed soit là pour le sucer hein coquine ? Elle sest mise à me sucer de plus belle pour acquiescer. Je me suis retiré pour ne pas joui de suite et je lai prise en levrette. Lorsque je lai pénétrée, je lui ai dit dimaginer que cest le zob dAhmed qui la baisait. Cela a été instantané, elle sest mise à remuer en jouissant et ma fait gicler immédiatement. Je me suis préparé pour ma réunion et jai tenté :
- Si tu veux, tu nas quà aller retrouver Ahmed ?
- Comment ça, pour quoi faire ?
- Pour aller te faire baiser, profites-en, chez nous tu ne pourras pas le faire.
- Et tu serais daccord ?
- Oui, à condition que tu me racontes tout en détail, nous ferons lamour comme des fous.
- Mais comment le trouver. (La salope y avait donc déjà pensé).
- Ne tinquiète pas, Ahmed ma dit quil était au café laprès midi à partir de 13 heures, il vaut mieux que tu ne rentre pas seule dans le bar, le mieux est que tu lappelle, jai le téléphone sur le ticket du restaurant.
.
- Je ne sais pas si jen suis capable.
Jai compris quelle en avait envie mais quelle voulait se faire prier, je lui ai dit alors quelle avait carte blanche et que jattendais le soir avec impatience pour quelle me raconte sa folle journée.
Et en effet, la journée a été plus que folle. Ma bourgeoise de femme, pendant que je travaillais, et aller se faire baiser comme la dernière des putes par Ahmed qui a passé laprès-midi dans le ventre de ma femme avec le consentement de son mari.
Lorsque je suis rentré, elle nétait pas encore là, je me suis mis à lattendre et je commençais à minquiéter lorsquelle est arrivée. A la vue de son visage épanoui, jai compris quelle était allée voir Ahmed. Elle ma bien sur tout raconté, comment elle a revu Ahmed qui la de suite amené dans sa piaule pour la baiser et même lenculer tout laprès-midi, il sest paraît-il déchaîné, sans doute parce je nétais pas là. En effet, il nétait plus impressionné par ma femme qui na pas donné son reste et qui se chargeait de le refaire bander après chaque jouissance. En le suçant, en frottant le sexe entre ses fesses, pour le faire durcir et à nouveau se faire prendre. Elle ma dit quelle sest comportée librement comme si elle en avait lhabitude et quAhmed lui a dit quelle baisait mieux que toutes les putes quil a rencontrées. Nous avons encore passé une soirée folle et malgré léchauffement de sa chatte et de son cul, je lai baisée trois fois.
Tout le reste de la semaine, elle est allé se faire baiser par Ahmed. Elle ne pouvait dailleurs plus sen passer car après cela, je lai autorisée à passer un ou deux jours par mois à Paris, rejoindre son amant en titre. Parfois je les rejoignais et on la baisait ensemble. Ahmed était entièrement libéré malgré ma présence et cétait toujours de plus en plus fort.
Depuis ce moment, nous avons eu de nombreuses autres expériences que je me réserve de vous raconter plus tard
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!